Je sais que je n'ai pas d'individus adoptés dans mon ascendance directe, mais certainement des ancêtres dont l'un des deux parents est mort jeune, peu après leur naissance, et dont l'autre s'est remarié par la suite. Je vais donc essayer de rentrer un père ou une mère "nourricier(ère)".
En voici un intéressant : Jean-Baptiste "Alban" MAURIN, serrurier à Meyrueis.
Voici son arbre de descendance (clic pour agrandir) :

Alban Maurin est notre sosa 210. Il est né en 1785 du troisième mariage de Jean MAURIN, maitre tailleur d'habits de la ville de Meyrueis, et de Marie-Jeanne BONNEFOUS. Mariée en 1810 avec Marie-Anne Berger, originaire de St-Sauveur-Camprieu, il en a eu deux enfants, une fille (sosa 105) et un garçon, prénommé comme son père. Marie-Anne meurt en couches à la naissance de ce dernier.
Alban, veuf avec deux jeunes enfants à charge, se remarie en 1815 avec une lointaine cousine de Drigas, Catherine ARNAL. Cette dernière a déjà 43 ans et leur union est restée stérile. Catherine a certainement été la mère nourricière des deux jeunes enfants.
Voyons voir ce que cela donne ...
Effectivement, c'est pas mal. Dans le cas de parents adoptifs, cela permet d'avoir un arbre d'ascendance. Et en changeant la petite étoile de couple, on peut changer les ascendances, soit la biologique, soit l'autre ! Par contre, si je vais sur la fiche de Catherine Arnal, rien ne permet de voir qu'elle était la mère nourricière des deux petits Maurin, ni dans la descendance, ni dans les autres liens ... Dommage, mais peut-être ai-je raté quelque-chose ! Mais ça marche quand il s'agit d'une vraie adoption.